Sculpture - Céramique

EXPOSITIONS
SUISSE
CTCS - Bellalay
Galerie du vieux bourg - Denges
Galerie Artémis - Corseaux
Joaillerie Guillard - Lausanne
Maison du Tourisme - Ouchy, Lausanne
Riviera’Art - Château de la Tour-de-Peilz
Château de Vuillierens - Vuillierens
Galerie de l’Orangerie - Neuchâtel
Musée de l’Ariana - Genève
FRANCE
Galerie du Gilbas - Lourmarin
Exposition aux Trois Quartiers - Boulevard de la Madeleine Paris
Galerie « Au Prince Noir » - Les Baux-de-Provence
Galerie Ikebana - Paris
Galerie Jouvène - Marseille
Galerie déco SL - Saint Rémy de Provence
Galerie Art Seiller - Saint Paul de Vence
Art Tentation - Rocamadour
Château de Lourmarin - Lourmarin
Galerie du Bec - Le Bec Hellouin
Soroptimist International - Deauville
La Galerie des Créateurs - Touques-Deauville
Galerie le Ph’Art - Honfleur

BIOGRAPHIE
Neuchâteloise d’origine, Diane suivit l’enseignement de l’Ecole des Arts et Métiers à Vevey en Suisse puis bourlingua aux Etats-Unis où elle découvrit la céramique au Pottery Center de Seattle. Elle se convertit à cet art du feu et en fit son métier. Elle fréquenta, de retour en Europe, les ateliers de Bernard Dejonghes à Paris et de René Ben Lisa à Aix-en-Provence. A la Fondation Maeght de Saint-Paul-de-Vence, elle travailla pour le sculpteur Cesar.
Découvrant les camaïeux superbes que donnent les cendres de divers végétaux qu’elle lave, tamise, broie comme l’ont fait les Chinois dans les temps anciens, ses œuvres, semi figuratives, libèrent une grande expressivité par l’épure et la simplification. Poursuivant ses recherches, Diane eut la révélation de la porcelaine, diabolique à travailler, mais dont la blancheur et la finesse permettent les plus belles nuances émaillées, les textures les plus douces, les plus aériennes. Passionnée par l’art de la céramique et de la porcelaine chinoise, notamment sous l’époque Song, Diane consacra beaucoup de son temps pour retrouver céladon et rouge sang de bœuf qu’elle considère comme les modèles accomplis. Témoins de ces travaux, la collection Oiseaux et celle nommée Mémoire engloutie où elle imagine prise dans les fonds marins la vaisselle précieuse échappée de galions naufragés.
Artiste complète, Diane de Lalène s’enthousiasme pour le bronze, envoie à couler ses premières sculptures. L’âpreté, la douleur mais aussi la sérénité éclairent son travail saisissant qui ébranle l’amateur d’art. Elle donne rapidement à ses pièces revenues « brut de fonderie » une patine qui fait aussitôt signature. Puis c’est l’apprentissage du marbre, travail inverse. Si avec la terre Diane façonne et ajoute à la matière pour « monter » la forme, avec le marbre elle enlève de la matière pour chercher la forme. En atteste sa série de Violoncelles émouvante.
Des collectionneurs privés suivent au fil des années les créations de Diane de Lalène essaimées en de nombreux pays. Des commandes prestigieuses, notamment sous forme de bas-reliefs, jalonnent son parcours. Citons le Centre de Recherches de Nestlé à Lausanne, le hall du magasin Madelios, place de la Madeleine à Paris, le Park-Hôtel**** à Gstaad, etc.
Aujourd’hui, Diane de Lalène poursuit inlassablement ses recherches dans des créations épurées où le classicisme d’une pureté remarquable côtoie l’imaginaire, rencontrant parfois l’humour. L’artiste puise un bonheur immense en transmettant son savoir à ses élèves.
Si vous souhaitez rencontrer Diane de Lalène et découvrir ses dernières créations, elle vous recevra chaleureusement dans sa demeure, sur simple rendez-vous.
